Avant de rentrer dans le vif du sujet, je te glisse un truc : quand je dois choisir ou comparer des outils hardware, je jette souvent un œil sur https://www.outillage-informatique.fr. Le site m’a déjà sorti de la panade plus d’une fois, surtout quand je cherchais des infos claires et pas noyées dans du blabla marketing.

Pourquoi surveiller la santé de son disque dur ?

Un disque dur, surtout s’il tourne depuis des années, finit par montrer des signes de fatigue : secteurs défectueux, températures trop élevées, vibrations suspectes… et ça peut aller très vite. Peut-être que tu as déjà senti ton PC devenir lent “sans raison” ? Eh bien… il y a souvent une raison. Et un outil de diagnostic peut l’attraper avant la catastrophe.

Perso, dès que je vois un disque monter à plus de 50°C en plein été – ici à Lyon, on tape facilement les 35°C dehors – je commence à m’inquiéter. Et je lance direct un scan.

1. CrystalDiskInfo – Le classique, simple et efficace

CrystalDiskInfo, c’est un peu le thermomètre qu’on garde dans le tiroir de la salle de bain : gratuit, léger, rapide. Il te montre l’état SMART de ton disque, sa température, son nombre d’heures de fonctionnement… Et j’aime bien l’affichage “Bon / Prudence / Mauvais” : c’est clair, net, pas de chichi.

Ce que j’apprécie : on peut laisser l’appli tourner en fond. Elle affiche même une petite alerte si quelque chose dérape. Et parfois, ça m’a littéralement sauvé la mise.

2. Hard Disk Sentinel – Pour ceux qui veulent tout savoir

Si tu veux un outil un peu plus costaud, Hard Disk Sentinel est une vraie pépite. Il analyse le disque en profondeur et donne une estimation de santé assez réaliste. J’ai déjà vu des disques affichés à 18% de “health” que le PC considérait encore comme “OK”… et Spoiler : ils ont lâché une semaine après.

Ça coûte quelques dizaines d’euros, mais honnêtement, si tu as plusieurs disques (NAS, PC fixe, portable…), ça peut valoir le coup. L’interface est un peu dense, mais une fois qu’on s’y habitue, c’est un plaisir.

3. Les outils intégrés : chkdsk (Windows), Disques (Linux), Smartmontools (Linux/Mac)

On les oublie souvent, mais les outils intégrés aux systèmes d’exploitation font le job. Par exemple :

• chkdsk sur Windows, pour vérifier et réparer les erreurs de système de fichiers.
• Disques sur Ubuntu et autres distributions, super simple pour voir le SMART du disque.
• Smartmontools (smartctl), un peu technique mais ultra puissant.

C’est clair, c’est un peu moins sexy qu’une interface graphique toute bleue, mais ça fonctionne très bien. Et ça évite d’installer quoi que ce soit.

4. GSmartControl – La version graphique de Smartmontools

Tu veux la puissance de smartctl, mais sans passer ton samedi à taper des commandes ? GSmartControl est une super alternative. Interface simple, tests complets ou rapides, résultats détaillés.

Le truc que j’aime : tu peux voir l’historique des erreurs et vraiment comprendre ce qui cloche. Une fois, ça m’a permis de repérer un disque externe qui chauffait trop juste parce qu’il était posé sur un routeur (oui, j’ai fait ça…).

5. Les utilitaires constructeurs (Seagate, WD, Samsung, etc.)

Seagate SeaTools, Western Digital Dashboard, Samsung Magician… Chaque constructeur propose son propre logiciel de test. Ça peut sembler redondant, mais parfois ces outils détectent des anomalies que les autres ne voient pas.

Par exemple, Samsung Magician est excellent pour optimiser les SSD de la marque. Et franchement, si tu as un SSD NVMe, ça vaut presque le coup d’installer l’outil rien que pour surveiller l’usure.

Comment choisir l’outil qui te convient ?

Tu veux un truc simple ? Prends CrystalDiskInfo.
Tu veux une vraie analyse poussée ? Hard Disk Sentinel ou GSmartControl.
Tu veux du fiable sans rien installer ? Les outils constructeurs ou ceux intégrés à ton système.

La vraie question que je pose toujours : tu veux juste jeter un œil de temps en temps, ou tu veux vraiment prévenir les pannes avant qu’elles n’arrivent ? Le choix dépend surtout de ta paranoïa – et honnêtement, sur les données perso, être un peu parano ça fait pas de mal.

Conclusion : surveiller son disque, c’est éviter les mauvaises surprises

On ne va pas se mentir : la plupart des gens s’intéressent à la santé de leur disque… le jour où il plante. Mais toi, tu fais l’inverse, et c’est la bonne démarche. En utilisant les bons outils, tu repères les signes de faiblesse avant qu’ils deviennent irréversibles.

Un petit check une fois par mois, deux clics, et ça t’évite des sueurs froides. Sérieusement, ça prend moins de temps qu’un café.

Alors, lequel de ces outils tu vas tester en premier ?

Avant de rentrer dans les réglages un peu plus poussés, j’aime bien jeter un œil à des ressources fiables comme https://ordirama.fr, histoire d’avoir une vision claire sur l’état du marché et les outils qu’on peut utiliser sans risquer d’installer n’importe quoi.

1. Identifier la vraie cause du ralentissement

C’est peut-être le point le plus sous-estimé. Beaucoup cherchent la solution miracle sans même savoir pourquoi le PC rame. Est-ce que c’est le disque dur qui fatigue ? Trop de logiciels au démarrage ? Un Windows saturé de fichiers temporaires ? Ou pire : un antivirus qui scanne en permanence ?

Personnellement, je commence toujours par le Gestionnaire des tâches (Ctrl + Maj + Échap). Ça paraît évident, mais c’est le seul endroit où vous pouvez voir en direct ce qui mange votre RAM ou votre CPU. Quand vous voyez un logiciel s’accaparer 80 % du processeur pendant que vous essayez juste d’ouvrir un PDF… vous savez où taper.

2. Nettoyer Windows : la base, mais fait correctement

On parle souvent de “nettoyage” comme s’il suffisait de cliquer sur un bouton magique. Spoiler : non. Un vrai nettoyage utile, ça se fait en trois petits gestes hyper simples.

a) Vider les fichiers temporaires (manuellement, c’est mieux)

Tapez nettoyage de disque dans le menu Démarrer. Sélectionnez le disque principal (probablement C:). Cochez tout ce qui concerne les fichiers temporaires, miniatures, cache d’installation, etc.
Perso, j’ai déjà récupéré plus de 6 Go rien que là-dessus. Ça fait respirer Windows.

b) Désinstaller les logiciels inutiles

Il y a toujours ce moment où on réalise qu’on a installé 5 versions différentes d’un logiciel ou des programmes qu’on n’a jamais ouverts. Rendez-vous dans Applications &amp ; Fonctionnalités et faites un tri franc.
Question : vous avez vraiment besoin de trois lecteurs vidéo différents ?

c) Nettoyer le démarrage Windows

C’est souvent là que se cache 80 % des lenteurs.
Toujours dans le Gestionnaire des tâches → onglet Démarrage.
Désactivez tout ce qui n’a pas besoin d’être lancé dès que vous appuyez sur le bouton du PC.
Petit rappel : désactiver n’est pas désinstaller, donc aucun risque.

3. Les outils gratuits qui fonctionnent vraiment (et pas les trucs douteux)

J’ai testé pas mal d’utilitaires dans ma vie – certains m’ont même planté des configs. Mais quelques outils gratuits sortent clairement du lot.

BleachBit – le plus propre

C’est un équivalent open-source à CCleaner (dans ses bonnes années).
Il supprime les fichiers inutiles, les caches, les logs… et surtout, il ne vous installe pas 12 barres de navigateur.
Il m’a sauvé un vieux PC de 2014 que j’utilisais en déplacement à Lille.

Autoruns – pour les utilisateurs un peu curieux

Un outil Microsoft ultra complet qui montre absolument tout ce qui se lance au démarrage. Idéal pour débusquer les services qui tournent en douce. Par contre, il faut toucher avec délicatesse, sinon on peut désactiver un truc important.

Windows Security – l’antivirus intégré

Vous n’avez pas besoin d’un antivirus tiers lourd et intrusif en 2025. L’outil intégré suffit largement pour les menaces classiques.
Un scan rapide peut révéler un malware qui surchauffe votre CPU. Ça m’est arrivé une fois : je croyais que mon PC était en fin de vie, c’était juste un script de minage planqué dans le cache.

4. Les réglages avancés pour gagner un vrai boost

Si votre PC est encore lent après tout ça, c’est peut-être qu’on touche aux limites matérielles. Mais avant de sortir la carte bancaire, testez ces deux réglages souvent oubliés.

a) Passer en “Meilleures performances”

Cherchez Options d’alimentation.
Sélectionnez le mode “Performances élevées”.
Ce petit truc peut réduire les saccades, notamment sur les machines portables un peu vieillissantes.

b) Optimiser le disque (HDD surtout)

Sur un disque dur classique, la défragmentation est essentielle.
Tapez “Défragmenter” dans le menu Démarrer → Optimiser.
Si vous êtes sur SSD, ne défragmentez pas (Windows gère automatiquement l’optimisation).
J’ai déjà vu un HDD passer d’un démarrage de 2 minutes à 40 secondes juste après ça.

5. Quand faut-il envisager une mise à niveau matérielle ?

Je vais être honnête : parfois, on ne peut pas faire de miracle.
Deux upgrades changent tout :

• Passer d’un HDD à un SSD : c’est comme offrir du café à Windows.
• Ajouter de la RAM : passer de 4 à 8 Go, c’est le jour et la nuit.

Si votre PC a plus de 8 ans, ça peut valoir la peine. Mais sinon, un simple SSD à 25–30 € transforme n’importe quel vieux coucou.

Conclusion : votre PC peut redevenir rapide (vraiment)

Optimiser un PC lent, ce n’est pas de la magie noire. C’est un mélange de ménage, de bon sens et de quelques outils bien choisis.
Prenez 20 minutes, faites les étapes dans l’ordre et votre machine devrait retrouver une seconde jeunesse.

Et si vous avez un doute ou un truc étrange qui ralentit votre ordinateur, dites-moi : votre PC est lent depuis un événement précis ou c’est venu petit à petit ?

J’ai passé pas mal d’heures à tester les trois — dans VS Code, dans des notebooks, sur le web — et j’ai fini par me faire une idée assez précise. Pas parfaite, mais réaliste.

ChatGPT : le prof patient qui code (presque) toujours juste

Franchement, ChatGPT reste une valeur sûre. Il comprend vite, il code propre, et surtout, il explique. Quand tu lui demandes un script Python pour automatiser une tâche, il te sort un code lisible, commenté, parfois même trop poli. Ce n’est pas juste un générateur, c’est un genre de tuteur numérique.

Le vrai point fort, c’est sa contextualisation. Tu peux lui dire “j’ai déjà ce bout de code, corrige juste la boucle” et il ne perd pas le fil. J’ai testé ça sur un algo de tri maison : il m’a repéré une erreur dans la complexité et m’a proposé une version plus rapide, sans que je le lui demande. Un petit kiff.

Mais bon, il y a aussi ses limites. Dès que tu touches à du code très récent, genre les nouvelles API ou librairies sorties la semaine dernière, il peut halluciner un peu. Il “invente” parfois des fonctions. Rien de dramatique, mais il faut rester attentif.

Gemini : puissant, mais encore un peu “cérébral”

Gemini (l’ancien Bard de Google) est impressionnant sur le papier. Il comprend bien le contexte des projets complexes, surtout ceux liés à l’écosystème Google : TensorFlow, Cloud, Firebase… Là, il est dans son jardin. Pour tout ce qui touche au machine learning, il cite les bonnes fonctions, les bonnes versions, et il connaît la doc par cœur. Vraiment bluffant sur ce point.

Mais côté “code brut”, c’est parfois plus laborieux. Il a tendance à écrire du code trop verbeux, trop académique. Tu sens que le modèle a été nourri à la doc officielle, pas à Stack Overflow. Il te donne du code correct, mais pas toujours pratique à copier-coller. Et il s’emmêle plus vite quand tu lui demandes d’optimiser un algo ou de corriger une dépendance cassée.

Disons que Gemini, c’est le pote ingénieur très fort en théorie, mais qui perd un peu de temps quand il faut déboguer en live.

Mistral : la pépite européenne qui monte

Et puis il y a Mistral. Le petit nouveau made in France qui fait beaucoup parler de lui. Mistral n’a pas encore la même infrastructure que ChatGPT ou Gemini, mais il a un truc que j’adore : la précision brute. Quand tu lui demandes un code court, concis, efficace… il te le donne sans fioritures. Pas d’intro, pas de blabla.

Je l’ai testé sur des petits scripts Bash et du Python embarqué : nickel. Il comprend bien les contraintes techniques, les formats d’entrée/sortie, et ne part pas dans des explications interminables. On sent que c’est pensé par des gens qui codent vraiment.

Son seul défaut pour l’instant, c’est son “écosystème” : pas encore d’interface conviviale, pas de playground magique. Il faut souvent passer par des API, ou des intégrations tierces. Mais côté résultat pur, c’est prometteur, très prometteur même.

Alors, qui gagne ?

Honnêtement, ça dépend de ton besoin.

• Pour apprendre et comprendre du code : ChatGPT reste le meilleur prof. Il explique avec patience et structure.
• Pour travailler sur des projets Google ou de la data : Gemini, sans hésiter. Il est né pour ça.
• Pour du code rapide, propre et minimaliste : Mistral prend une belle avance, surtout si tu aimes garder le contrôle.

Perso, je les utilise un peu tous. ChatGPT pour réfléchir, Gemini pour vérifier, Mistral pour produire. Et parfois je compare leurs réponses, juste pour le plaisir de voir qui “pense” le mieux. (Oui, je sais, c’est un peu geek.)

Conclusion : la vraie force, c’est le combo

Si tu codes souvent, le meilleur modèle d’IA… c’est sans doute celui que tu apprends à maîtriser. Aucun n’est parfait, mais chacun peut t’aider à franchir une étape. Et le futur ? Il sera hybride. On passera peut-être d’un ChatGPT “prof” à un Mistral “artisan”, selon les moments.

En attendant, le plus malin, c’est de tester toi-même. Ouvre ton éditeur, balance une requête, et vois ce que ça donne. Parce qu’au fond, c’est ça le vrai plaisir du code : expérimenter, comparer, et comprendre comment ça marche vraiment.